Séances individuelles ou duo

Reprise de l'activité physique ou réalisation d'objectifs sportifs

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Il est difficile de vous motiver à bouger, vous souhaitez reprendre une activité physique adaptée à vos capacités ou avez simplement besoin d'un suivi dans la réalisation de vos objectifs sportifs ? Nous sommes là pour vous aider.

Bouger ? Pourquoi faire ?

  • Diminuer les risques de maladies chroniques comme le cancer, le diabète ou les maladies cardiovasculaires (Kesaniemi et al., 2001)
  • Améliorer ses capacités cardiorespiratoires (Malatesta, 2006) 
  • Améliorer son bien-être psychique (Depiesse et Coste, 2016)
  • Lutter contre les effets du vieillissement (Malatesta, 2006)
  • Améliorer son sommeil (Kredlow et al., 2015)
  • Maintenir un poids de forme (Haskell et al., 2007)

Surcharge pondérale

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Vous souffrez de surcharge pondérale et n'arrivez pas à maintenir une activité physique essentielle pour votre santé ? Nous vous proposons un suivi adapté afin de vous aider à perdre du poids et à améliorer votre bien-être physique et psychique.

Bouger ? Pourquoi faire ?

  • Lutter contre les pathologies secondaires associées à l’obésité (diabète, maladies cardiovasculaires, lombalgies, etc.; Ciangura et al., 2014)
  • Augmenter le niveau de dépense énergétique et la sensation de satiété pour une perte de poids (Goltz et al., 2018)
  • Améliorer la condition physique et les capacités cardiorespiratoires (Comité scientifique de Kino-Québec, 2006)
  • Diminuer la masse grasse et augmenter la masse musculaire (Comité scientifique de Kino-Québec, 2006)
  • Bénéficier des effets positifs sur le plan psychologique (amélioration de l’humeur, de la sensation de bien-être et de l’estime de soi; Ciangura et al., 2014)

Douleurs orthopédiques

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Votre dos ou votre genou vous fait terriblement souffrir et depuis lors le mot "sport" est banni de votre vocabulaire ? FAUX ! Dans ces situations, l'activité physique est primordiale et n’est pas contre-indiquée (Henchoz et Kai-Lik So, 2008).

Bouger ? Pourquoi faire ?

  • Éviter de tomber dans un cercle vicieux : douleurs, peur de la douleur, évitement du mouvement, déconditionnement, douleurs (Vlaeyen et Linton, 2000)
  • Obtenir des bénéfices sur la fonction et la douleur (Henchoz et Kai-Lik So, 2008)
  • Augmenter sa masse musculaire, afin de diminuer les chocs sur l'articulation (Van Baar et al., 2001) 
  • Augmenter l'amplitude des mouvements articulaires et la mobilité (Van Baar et al., 2001)
  • Gagner en autonomie et améliorer sa confiance en soi

Seniors

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Les effets du vieillissement sur l'organisme tels que la diminution de la masse musculaire, de la capacité ventilatoire ou encore de l'équilibre sont indéniables. Vous désirez maintenir une activité physique régulière afin de limiter ces effets dus au vieillissement ? Nous sommes à votre disposition pour des séances spécifiques !

Bouger ? Pourquoi faire ?

  • Lutter contre les effets du vieillissement en ralentissant la diminution de la masse musculaire, de la densité osseuse et de l'équilibre (Depiesse et Coste, 2016)
  • Diminuer les raideurs et augmenter les amplitudes articulaires (Malatesta, 2006)
  • Améliorer les capacités cardiorespiratoires  (Depiesse et Coste, 2016)
  • Maintenir son autonomie (Malatesta, 2006)

Grossesse et post-partum

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Vous êtes enceinte ou avez récemment accouché et ne savez pas comment continuer ou reprendre une activité physique adéquate et sûre pour votre santé ? Nous vous proposons un suivi adapté en fonction de votre forme, de vos capacités et de votre période prénatale ou post-partum.

Bouger ? Pourquoi faire ?

De nombreuses études ont montré qu’une activité physique régulière durant la grossesse a des effets bénéfiques sur la santé maternelle, fœtale et néonatale (Société des obstétriciens et gynécologues du Canada, 2018).

Femmes enceintes

  • Maintenir ou améliorer la condition physique (Melzer, 2020)
  • Maintenir ou prévenir une prise de poids excessive (Sanabria-Martinez, 2015)
  • Diminuer les douleurs lombaires et pelviennes (Kluge, 2011)
  • Diminuer le risque d’incontinence urinaire (Société des obstétriciens et gynécologues du Canada, 2018)
  • Diminuer la pré-éclampsie, l'hypertension gestationnelle (Davenport, 2019) et le diabète gestationnel (Schlussel, 2018)
  • Diminuer le temps de travail lors de l’accouchement (Kardel, 2009)
  • Réduire le risque de macrosomie (poids excessif à la naissance; Wiebe, 2015) et de complications fœtales (Depiesse, 2009)
  • Améliorer le développement neurologique du nouveau-né (Labonte-Lemoyne, 2013) 

Femmes en période post-partum

  • Améliorer les capacités cardiorespiratoires (Evenson et al., 2014)
  • Réduire le risque d’incontinence urinaire en post-partum (Société des obstétriciens et gynécologues du Canada, 2018)
  • Perdre ou maintenir le poids (Evenson et al., 2014)
  • Diminuer la dépression et l’anxiété (Artal et O’Toole, 2015)
  • Améliorer l’humeur et le bien-être émotionnel (Evenson et al., 2014)


La reprise de l’activité physique dépend du mode d’accouchement et des complications liées à celui-ci mais peut débuter dès que l’état physique et médical est sûr (Committee Opinion No. 650, 2015). Une attention particulière est portée sur le périnée et les abdominaux lors de la reprise des exercices (De Gasquet, 2009).

Maladies chroniques

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Vous souffrez d'un cancer, de diabète, de dépression, d'hypertension, de lombalgie ou de toutes autres maladies chroniques ? L'activité physique peut vous soulager et vous aider à lutter contre la maladie grâce à ses nombreux bienfaits.

Bouger ? Pourquoi faire ?

L’activité physique permet de réduire les complications liées à ces maladies et favorise la récupération. Une des conséquences indéniable d’une maladie chronique est l’inactivité physique qui conduit au déconditionnement (Préfaut et Ninot, 2009). Ce dernier peut aggraver la maladie chronique initiale et diminuer la qualité de vie. C’est pourquoi il est essentiel de rester actif, malgré l'altération des capacités. 

 

Cancer

Dans le cas particulier du cancer, l’activité physique permet notamment de : 

  • Augmenter l’espérance de vie et diminuer le risque de récidive (Dr. Bacquaert, 2019)
  • Diminuer certains effets secondaires des traitements (Knols et al., 2005)
  • Améliorer la tolérance aux traitements et leurs effets thérapeutiques (Meneses et al., 2015)
  • Maintenir la masse musculaire (Whitehead et Lavelle, 2009)
  • Réduire la perte osseuse (Bouillet et al., 2015)
  • Renforcer le système immunitaire (Rogers et al., 2008)
  • Améliorer la qualité de vie et le bien-être (amélioration du sommeil et de la confiance en soi, diminution de la fatigue, de la dépression, de l’anxiété, du stress et des douleurs et régulation des émotions; Depiesse et Coste, 2016)

 

Diabète

Dans le cas particulier du diabète, l’activité physique permet notamment de :

  • Améliorer la sensibilité à l’insuline (Gordon et al., 2009)
  • Diminuer la gylcémie et mieux la contrôler (Gordon et al., 2009)
  • Prévenir les complications à long terme et retarder l'apparition chez les personnes prédiabétiques (Diabetes Canada Clinical Practice Guidelines Expert Committee, 2018)
  • Améliorer les capacités cardiorespiratoires (Nielsen et al., 2006)
  • Diminuer les risques cardiovasculaires (profil lipidique, tension artérielle; Colberg et al., 2010)
  • Mieux contrôler son poids (Colberg et al., 2010)
  • Ralentir le développement de la neuropathie périphérique (Balducci et al., 2006)
  • Augmenter la masse musculaire (Ryan et al., 2001) et la densité minérale osseuse (Nelson et al,. 1994)

Troubles neurologiques

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Vous avez subi un accident vasculaire cérébral ou une lésion médullaire, souffrez de parkinson, sclérose en plaques ou autres troubles neurologiques et il vous est difficile de trouver une activité physique adaptée à vos capacités ? Nous vous proposons des séances dans le but d’améliorer votre autonomie, votre bien-être et votre qualité de vie.

Programmes spécifiques  à la maladie de Parkinson et de la sclérose en plaques

Nous vous proposons deux programmes d’activité physique d’une durée de 3 mois, à raison d’une séance individuelle d’une heure par semaine pour les cas spécifiques de la maladie de Parkinson et de la sclérose en plaques. Ils ciblent les besoins spécifiques et les composantes de la condition physique essentielles à travailler dans le cas de ces maladies. Deux séances théoriques sur la pratique d’activité physique seront données durant le programme afin de permettre une pratique sécuritaire et bénéfique à domicile.
L’activité physique est essentielle pour limiter la progression de la maladie et pour améliorer la qualité de vie. Cependant, afin d’obtenir les bénéfices escomptés et ne pas augmenter la fatigue et/ou aggraver les symptômes, l’activité physique doit être pratiquée selon des critères bien précis.


Bouger ? Pourquoi faire ?

  • Améliorer la qualité de vie (Barnault et Dutruel, 2016)
  • Augmenter la force musculaire, l'équilibre, la coordination et les capacités cardiorespiratoires (Barnault et Dutruel, 2016)
  • Diminuer le risque de chute (Depiesse et Coste, 2016)
  • Améliorer le sommeil et l'humeur (Depiesse et Coste, 2016)
  • Améliorer les capacités fonctionnelles et donc la capacité à effectuer les activités de la vie quotidienne (Depiesse et Coste, 2016)


Parkinson

Dans le cas particulier de la maladie de Parkinson, l’activité physique permet notamment de : 

  • Améliorer les paramètres de la marche, l'équilibre, la force musculaire et l'endurance (Speelman et al., 2011)
  • Améliorer la mobilité, l’amplitude de mouvement et réduire la rigidité (Depiesse et Coste, 2016). 
  • Diminuer l'instabilité posturale et la survenue de dyskinésies (Petzinger et al., 2010 ; Zigmond et al., 2012)
  • Réduire les tremblements et l'akinésie (Depiesse et Coste, 2016)
  • Diminuer les troubles de mémoire et d'attention (Depiesse et Coste, 2016)


Sclérose en plaques

Dans le cas particulier de la sclérose en plaques, l’activité physique permet notamment de : 

  • Améliorer l’endurance, la force musculaire, la mobilité, les paramètres de la marche, l’équilibre (Isner-Horobeti  et al., 2015)
  • Diminuer la fatigue (Isner-Horobeti  et al., 2015)
  • Améliorer la capacité à apprendre, la mémoire et l’attention (Beier et al., 2014)
  • Améliorer la proprioception neuromusculaire en stimulant la neuroplasticité (Depiesse et Coste, 2016)


Accident vasculaire cérébral (AVC)

Dans le cas particulier de l'AVC, l’activité physique permet notamment de : 

  • Lutter contre le déconditionnement (Billinger et al., 2014) 
  • Réduire le risque d’événements cardiovasculaires ultérieurs (Billinger et al., 2014)


Alzheimer

Dans le cas particulier de l'Alzheimer, l’activité physique permet notamment de : 

  • Lutter contre les troubles du comportement (dénutrition, trouble du sommeil, anxiété, agitation, agressivité) 
  • Lutter contre la dégénérescence des fonctions cognitives (Adamson et al., 2015)
  • Diminuer le déclin mental (Vercambre et al., 2011)
  • Améliorer les capacités d’attention, de vitesse de traitement, les fonctions exécutives et la mémoire (Smith et al., 2010)


Lésions médullaires

Dans le cas particulier d'une lésion médullaire, l’activité physique permet notamment de :

  • Réduire le risque de maladies cardio-métaboliques (Duran et al., 2001)
  • Diminuer les douleurs courantes aux épaules (Curtis et al., 1999)
  • Améliorer la santé et l’autonomie au quotidien (Duran et al., 2001)
  • Obtenir des bénéfices sociaux et sur l'estime de soi (Ginis et al., 2012)